Les parents ont tout le mobilier et la layette voulus ? D’autres idées :

-          Ateliers bricolage

Certains cafés où on peint de la céramique proposent des forfaits aux groupes : on peint une pièce de céramique pour bébé ou pour la maman, tout en prenant une bouchée sur place.  On peut aussi créer une œuvre collective (réaliser un mobile, une courte-pointe, un album souvenir pour bébé ou un babillard pour y épingler de l’information; peindre un tableau ou un tatou au henné sur le ventre de la future maman ou encore le mouler dans le plâtre, si elle y consent, bien sûr).

-          Préparer la chambre du bébé

Autrefois, on organisait des corvées pour aider les futurs époux (ex. : construction, d’une maison) et les futurs parents (construction d’un lit de bébé, fabrication de vêtements ou de couches).  Dans la télésérie Rumeurs, les amis d’Esther optent, après un brainstorming animé, pour une corvée : leur cadeau sera meublée.  Voilà une idée sympa !  On peut se cotiser pour les services d’une décoratrice ou encore limiter notre aide à la peinture, la pose du papier peint, l’assemblage des meubles et l’installation des tablettes.  Et, à la fin d’une journée bien remplie, après les oh ! et les ah ! de la future maman, on se commande une pizza.

-          Un «shower» livres, musique et films

Chacun contribue à garnir la bibliothèque, la vidéothèque et l’armoire à CD du petit à naître.  En donnant notre cadeau, on prend une minute pour motiver notre choix.  Par exemple, Bébé dragon (Daniel Lavoie), était le «hit» à l’heure du souper, Dora l’exploratrice fait flipper notre fillette, les livres plastifiées de Caillou sont aussi utiles…pour les dents ou la collection de mini-livres Puce nous est tombée dans l’œil.  Ajoutez à votre carte l’information sur le programme «Une naissance, un livre, offert par les bibliothèques publiques du Québec.

-           Chèques-cadeaux

On les achète tout faits (cinéma – pour consommation immédiate, après on n’a plus le temps avant un bail – massothérapie, musique, livraison de repas, location de pagette pour le dernier mois) ou on les conçoit nous-mêmes (soirées de gardiennage, bons pour mets préparés, aide pour les courses ou l’entretien).  Les parents ne repartiront pas les bras pleins mais le cœur, ça oui, avec la promesse sur papier du soutien à venir.  Madeline Barillo, auteure de Spectacular Showers for Brides, Babies and Beyond, appelle ceci un «It-takes-a-village Shower», en rappel du dicton africain «It takes a village to raise a child», qui évoque l’importance de l’appui de la communauté.